Marianne Mispelaëre — Le superflu doit attendre

Le superflu doit attendre

« Une lutte sans trêve », d’Angela Davis
« Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal », de Hannah Arendt
« La fiction réparatrice », d’Émilie Notéris

Série en cours de l’artiste Marianne Mispelaëre.
Plaques de cuivre sérigraphiées, 40 x 30 cm.

Traces d’une performance sans spectateur, les plaques de cuivre de la série LE SUPERFLU DOIT ATTENDRE inscrivent sur leur surface l’oxydation des mains et des avant-bras pendant la lecture des livres dont elles portent le nom sérigraphié. Les livres choisis, au regard de réflexions sur l’émancipation, la conscience et l’autonomie dans l’action, traitent de luttes politiques, féministes, raciales, et entrent en dialogue avec les plaques, matrices traditionnelles de techniques de gravure et d’impression des ouvrages papier.
Marianne Mispelaëre

www.mariannemispelaere.com

Crédits photos : Marianne Mispelaëre